Nous avons assisté à la conférence « Génération Slow Fashion » à la Maison Régionale de l’Innovation de Dijon. Un événement thématique organisé dans le cadre du tournage d’un documentaire produit par Dynamo Production et diffusé par France 3 Bourgogne-Franche-Comté. 😉 Pauline Pelsy-Johann
🎤 Des intervenants engagés pour une mode plus responsable
Avec Maurane NAIT MAZI, fondatrice de CMCM• Le média de la seconde main et Catherine Dauriac ⏚, les discussions ont mis en lumière les défis de la fast fashion et les solutions pour un modèle plus durable :
🔹 L’importance de la transparence dans la chaîne de production
🔹 Le rôle clé du réemploi et du recyclage pour réduire l’impact environnemental
🔹 Les nouvelles tendances de consommation et l’essor du marché de la seconde main
🔹 Les leviers d’action pour les industriels et les collectivités
💡 Des sujets qui nous font réfléchir en filière
Ce rendez-vous a réuni des experts de la collecte, du réemploi, notre région, des entrepreneurs et des citoyens engagés autour d’une même question : comment transformer l’industrie textile pour qu’elle devienne réellement circulaire ?
Face à l’urgence environnementale, ces moments de rencontre et de sensibilisation sont essentiels pour repenser les pratiques et identifier des solutions concrètes. Une chose est sûre : l’innovation et la collaboration avec l’ensemble des acteurs du textile seront les clés d’une mode plus responsable.
On a eu quelques débats & remarques autour d’une volonté commune de faire bouger les lignes.
On garde en tête le discours qui évoque que :“70% de l’impact environnemental du vêtement est concentré dans la production “ ou encore que “0,3% du textile est circulaire “.
Dans l’industrie textile la seconde main, le recyclage et les modèles d’affaires sont discutables sur de nombreux points. Cependant nous restons convaincus par les bienfaits environnementaux des méthodes de recyclage innovantes.
Et vous, quelles actions vous semblent prioritaires pour accélérer cette transition de la filière ? 🌿
Et puis pour nous, revenir à Dijon c’est aussi repenser pleinement à nos années d’incubation chez DECA-BFC

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